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Affichage des articles du mars, 2010

Ratzi, c’est fini

Monseigneur, « Monseigneur, Ayant été baptisé en la cathédrale de X sous le nom de NN. le 1 er janvier 1957, étant depuis trente-trois ans passé au protestantisme, et réprouvant le récent soutien apporté au pape Benoît XVI par la Conférence des évêques de France concernant les affaires de pédophilie sur lesquelles il a complaisamment fermé les yeux lorsqu’il était Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, je vous serais reconnaissant de bien vouloir porter sur le registre des baptêmes et en regard de mon nom la mention suivante : « a renié son baptême par lettre datée du 26 mars 2010. » Cela n’entachera nullement mes relations avec les catholiques locaux que j’apprécie et respecte. Mais l’affaire que j’évoque, outre les concessions inadmissibles

Les dogmes religieux et leurs effets pervers.

Si nous observons un peu l'histoire de l'Église, nous pouvons constater que la conception des dogmes suit de très près la mise en place du système religieux babylonien qui va malheureusement séparer peu à peu les clercs des laïques. Dans ce système à deux classes, les « clercs » (ceux qui « savent ») vont décréter ce qu'il faut croire (Le mot « dogme » vient du grec « dogma » qui signifie : décret, décision), et les « laïques » vont devoir baisser le nez et se soumettre au dogme, sous peine d'être bannis de ce système religieux qui a pris indument le titre « d'église ». A partir de ce moment, la connaissance de Dieu et de son Fils ne va plus être une vivante expérience personnelle et communautaire de communion avec le Dieu Sauveur (qui est pourtant la seule qui donne la Vie éternelle selon Jean 17. 3.) , mais va devenir une étude intellectuelle où le Père et le Fils vont être disséqués et analysée (comme des animaux de laboratoire) avant d'être soigneuse

Comment vaincre le péché

Par Charles Finney Constamment, au cours de mon ministère, j'ai rencontré beaucoup de chrétiens dans un état misérable. Ils étaient esclaves du monde, de la chair ou du diable. Ce n'est certainement pas un état qui convient à un chrétien, car l'apôtre Paul a clairement dit : " Car le péché n'aura point de pouvoir sur vous, puisque vous êtes, non sous la loi, mais sous la grâce ." J'ai été attristé, tout au long de ma vie chrétienne, de voir tant de chrétiens vivre dans cet esclavage décrit dans le chapitre sept de l'Epître aux Romains. Ils pèchent, prennent la résolution de changer, et chutent à nouveau. Il est particulièrement triste, et même angoissant, de voir beaucoup de pasteurs et de conducteurs chrétiens donner des instructions complètement fausses sur la manière de vaincre le péché.  Je regrette d'avoir à le dire, mais la plupart des conseils qui sont donnés sur ce sujet se résument à ceux-ci :

La prière sur son lieu de travail.

Par Paul Hermes. «  On vous appellera prêtres du Seigneur  » (Es. 61. 6.) Le renversement annoncé, de tous les systèmes religieux. La femme samaritaine (Jean 4) est sur son lieu de travail. Elle puise de l'eau. C'est là que Jésus la rencontre. Et il lui confie une nouveauté qui bouleversera tous les systèmes religieux : l'adoration que le Dieu vivant et unique recherche, ne va plus être confinée dans un temple ou dans des lieux sacrés, que ce soit à Jérusalem en Samarie ou ailleurs dans le monde. En effet le nouveau temple sera le Messie Jésus, « détruit et reconstruit » le troisième jour, et il sera aussi constitué de tous ceux qui seront unis à lui dans l'Esprit par la foi. Le nouveau temple sera relocalisé dans le ciel en Jésus le Fils unique, et aussi relocalisé sur terre, dans les fils et filles de Dieu nés de Lui par l'Esprit. Sur terre la présence de Dieu sera mobile et multiple : elle se trouvera là où sont ses enfants. Aussi le système qui fait l&#

Azusa Street , que s'est-il vraiment passé ?

. LA VERITE DOIT ETRE DITE Frank Bartleman fut un témoin oculaire de l'effusion du Saint-Esprit en 1906 à la rue Azusa, de Los Angeles. On a pu l'appeler "le reporter du Réveil de la rue Azusa". Ce qu'il raconte est très éloigné de ce qui est pratiqué actuellement dans les églises dites "de Pentecôte". Se peut-il que ces mouvements soient devenus des "systèmes" et des organisations humaines et pas des instruments dans les mains de Dieu et du Saint-Esprit? Voici quelques extraits du livre "Une autre vague déferle" (paru a l'origine sous le titre "Que s 'est-il vraiment passé à Azusa Street ?") qui font des débuts de la Pentecôte un récit quelque peu différent de la version "officielle". La vérité doit être dite, Azusa commença à s'éloigner du Seigneur très tôt dans son histoire. Dieu m'a un jour montré qu' ils allaient commencer à s'organiser, quoique personne ne m'en ait jamais

Expérience d'un frère

. Lorsque Dieu ''oeuvre en nous le vouloir'', nous devons accomplir résolument Sa volonté et répondre avec un ''Je veux'' énergique à toutes Ses demandes. Car Dieu ne peut accomplir Sa volonté en nous que si nous y consentons et marchons en harmonie avec Lui. Cher lecteur, avez-vous consenti à cela et accomplissez-vous résolument Sa volonté ? Il désire que vous vous abandonniez complètement à Lui et que vous Lui fassiez parfaitement confiance. Le désirez-vous également ? Si donc, vous avez de part votre volonté franchi les étapes de l'abandon et de la foi, c'est votre droit de croire maintenant même , quoique vos sentiments vous crient à ce sujet, que vous appartenez au Seigneur et qu'Il a commencé à ''oeuvrer en vous le vouloir et le faire selon Son bon plaisir.'' Je tiens à le répéter . Tout se passe au niveau de la volonté. Il y a quelques années, le pasteur Théodore Monod, de Paris, m'en a donné une remarquable

La responsabilité de l'oeuvre humaine

(Sermon prononcé par Frédéric Godet à Neuchâtel, le 30 décembre 1894)   « Et leurs oeuvres les suivent ». (Apocalypse 14.13)   Mes chers frères et soeurs,   Nous nous plaignons souvent du fardeau de la vie. En parlant ainsi, nous pensons surtout aux souffrances, aux inquiétudes, aux difficultés qui la rendent parfois si pénible. Mais il est un autre fardeau plus lourd attaché au devoir de vivre ; c’est la responsabilité dont la vie est  accompagnée.   Nous avons reçu de Dieu la connaissance plus ou moins distincte du bien et du mal, avec un sentiment intime de sympathie pour le premier, de désapprobation pour le second, et, de plus, la liberté de choisir entre ces deux puissances rivales, le pouvoir de nous livrer soit à l’une, soit à l’autre.