Ratzi, c’est fini
Monseigneur, « Monseigneur, Ayant été baptisé en la cathédrale de X sous le nom de NN. le 1 er janvier 1957, étant depuis trente-trois ans passé au protestantisme, et réprouvant le récent soutien apporté au pape Benoît XVI par la Conférence des évêques de France concernant les affaires de pédophilie sur lesquelles il a complaisamment fermé les yeux lorsqu’il était Préfet de la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, je vous serais reconnaissant de bien vouloir porter sur le registre des baptêmes et en regard de mon nom la mention suivante : « a renié son baptême par lettre datée du 26 mars 2010. » Cela n’entachera nullement mes relations avec les catholiques locaux que j’apprécie et respecte. Mais l’affaire que j’évoque, outre les concessions inadmissibles