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Affichage des articles du juillet, 2014

Qui se cache derrière la prétendue « mère de Dieu » ?...

Origine occulte de l'adoration de la Vierge Marie dans certains milieux catholiques et orthodoxes. par Jean-Luc B Un peu d’histoire pour bien situer les choses Le culte de la déesse-mère a toujours été prospère dans l’antiquité autour de la méditerranée et même au delà. L’annonce de l’Évangile l’a pratiquement fait disparaître, au point que les temples miniatures d’Artémis (la déesse-mère grecque, identifiée à Diane chez les romains) ne se vendaient plus. Et nous savons par le livre des Actes des apôtres que les artisans de la ville d’Éphèse qui vivaient de ce commerce craignaient de tomber en faillite et ont organisé des manifestations pour essayer de contrer les avancées de la foi chrétienne (voir Actes 19). Malheureusement ce culte s’est peu à peu (ré)introduit à l’intérieur même de l’Église, au fur et à mesure que la foi s’éloignait des fondements bibliques et que sa structure la rapprochait des religions traditionnelles avec une séparation nette entre le cler

Le repos du Jubilé

par Éliane COLARD (Message donné au cours d’un séminaire Prophétique en Guadeloupe : Mai 2014 ). Pourquoi parler de Jubilé ? Nous allons voir que ce terme est en rapport avec l’esclavage, le travail ou encore le «  labeur  ». Lire les textes suivants : Genèse 2/2, Deut. 15/1, Exode 21/2, Lévitique 25.    L’année du Jubilé c’était selon les écrits bibliques une année de relâche pour les esclaves (travailleurs), mais c’était également pour la terre une année de repos. Le texte du Lévitique parle de 7 sabbats d’années soit 7 fois 7 ans qui font 49 ans, en précisant que le Jubilé était la 50è année, une année où la liberté était proclamée dans le pays pour tous ses habitants. Le Jubilé est en effet la proclamation d’un repos, d’un relâche, d’une libération. Et Jésus va déclarer en Luc 4/18 qu’Il est venu pour apporter cette libération, qu’il a été oint pour accomplir ce qui avait été prophétisé par le prophète Ésaïe au chapitre 61. On remarquera que Jésus ne cite à ce m