Vous n'avez pas fini de déballer le Cadeau !
« Sa Divine Puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété, au moyen de la connaissance de Celui qui nous a appelés par sa propre gloire et par sa vertu, lesquelles nous assurent de Sa part les plus grandes et les plus précieuses promesses, afin que par elles vous deveniez participants de la Nature Divine... » (2 Pierre 1 3-4.)
Dieu en nous faisant connaître son Fils nous a fait un cadeau formidable.
« Or, c’est par lui que vous êtes en Jésus-Christ, lequel, de par Dieu, a été fait pour nous sagesse, justice et sanctification et rédemption » (1 Cor. 1. 30.)
Dans les premiers temps de la rencontre avec notre Sauveur, nous ne saisissons évidemment que ce qui nous semble important à ce moment là : l'amour de Dieu et le pardon acquis à la croix. Mais il y a beaucoup d'aspects du « Don de Dieu » qu'il nous reste encore à découvrir au fur et à mesure de notre marche avec Lui : la liberté en Christ, la victoire sur le péché, la délivrance des puissances mauvaises, l'identité spirituelle, la direction sur le chemin, etc...
Dieu en nous faisant connaître son Fils nous a fait un cadeau formidable.
« Or, c’est par lui que vous êtes en Jésus-Christ, lequel, de par Dieu, a été fait pour nous sagesse, justice et sanctification et rédemption » (1 Cor. 1. 30.)
Dans les premiers temps de la rencontre avec notre Sauveur, nous ne saisissons évidemment que ce qui nous semble important à ce moment là : l'amour de Dieu et le pardon acquis à la croix. Mais il y a beaucoup d'aspects du « Don de Dieu » qu'il nous reste encore à découvrir au fur et à mesure de notre marche avec Lui : la liberté en Christ, la victoire sur le péché, la délivrance des puissances mauvaises, l'identité spirituelle, la direction sur le chemin, etc...
« Sa divine puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété. »
Nous avons tout pleinement en Jésus Christ (Col. 2. 10.). Et cela dès le début de notre vie Chrétienne. Remarquez bien qu'il est écrit « nous a donné tout », c'est déjà fait. Il n'est pas dit : « il nous donnera plus tard », mais bien : « nous a donné tout ». Ceux qui courent dans des rassemblements où on leur promet : « plus de Dieu » n'ont probablement jamais lu ce Texte fondamental. Sinon ils sauraient qu'il n'y a pas besoin de chercher ailleurs. Inutile de courir à des séminaires, ni auprès de « leaders » et de pseudo-prophètes, ni d'aller le chercher dans les chambres, ni dans les déserts ou dans la mortification, puisque tout nous a été donné « au moyen de la connaissance de Celui qui nous appelé » ! Tous ceux qui ont reçu l'appel divin et qui y ont répondu ont donc accès ainsi à « tout ce qui contribue à la vie et à la piété ».
En voyant comment certains frères et soeurs peuvent rester pendant des années dans la misère spirituelle, on peut se demander s'ils n'ont pas oubliés de continuer à déballer le Cadeau que Dieu nous a offert en nous faisant connaître son Fils. Selon ce qu'en dit L'Écriture :
« je veux qu’ainsi leurs coeurs soient encouragés et qu’étroitement unis dans l’amour, ils accèdent, en toute sa richesse, à la plénitude de l’intelligence, à la connaissance du mystère de Dieu : Christ, en qui sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la connaissance. » (Col. 2. 3.)
Paul confirme donc ce que disait Pierre en introduction de cet article, mais y apporte une précision qui nous permet de savoir comment « déballer ce cadeau », car remarquons bien que ces trésors ne sont pas directement accessibles, puisqu'ils « sont cachés en Christ ». Il est donc nécessaires de le rechercher pour les découvrir, cependant Paul nous explique comment nous pouvons y arriver : en étant « étroitement unis dans l’amour, ils accèdent, en toute sa richesse, à la plénitude de l’intelligence, à la connaissance du mystère de Dieu. »
La leçon est claire : ce n'est ni dans les écoles bibliques, ni dans les ouvrages de théologie, ni même sur internet et ses multiples sites chrétiens que nous pourrons accéder véritablement à la plénitude de la compréhension du mystère de Dieu, mais seulement en étant « étroitement unis dans l’amour » avec ceux qui suivent avec nous le même Seigneur. La communion fraternelle est donc le moyen par lequel Dieu nous dévoile chaque jour les trésors qui sont cachés en Christ.
N'oublions pas en effet que le Christ se compare Lui-même à la manne qui a nourri le peuple dans le désert (Jean 6. 32 à 35.). Une nourriture qu'il fallait aller chercher tous les matins après la rosée, pour ensuite la partager avec ceux qui n'en avaient pas ramassé assez pour leurs besoins. Donc d'abord une recherche individuelle, pour en arriver ensuite à un partage collectif. Dieu nous donne fidèlement « notre pain quotidien » mais nous avons à le ramasser et à le préparer nous-même pour pouvoir le partager avec les frères et soeurs.
Il me semble que nous avons pris de bien mauvaises habitudes dans nos lieux de réunion, puisque la plupart du temps il n'y a qu'un seul homme (le pasteur) qui va chercher la manne (quand il ne fait pas simplement des copié-collé piochés sur un site d'enseignement...) et qui prépare un plat collectif pour le reste d'une assemblée qui a tendance à se mettre simplement les pieds sous la table, en critiquant même souvent la façon dont le service a été effectué... ce n'est pas le modèle qu'en donne les apôtres :
« Que faire donc, frères? Lorsque vous vous assemblez, les uns ou les autres parmi vous ont–ils un cantique, une instruction, une révélation, une langue, une interprétation, que tout se fasse pour l’édification... » (1 Cor. 14. 26.)
« Comme de bons dispensateurs des diverses grâces de Dieu, que chacun de vous mette au service des autres le don qu’il a reçu » (1 Pierre 4. 10.)
Si nous voulons découvrir en Christ les trésors qu'il a mis à notre disposition, il nous reste à le retrouver là où il nous a dit qu'il était présent :
« là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis au milieu d’eux. » (Mat. 18. 20.)
Pour le dire trivialement : il serait peut-être temps d'arrêter de se refiler des adresses de bons restaurants situés à des dizaines (ou parfois des centaines) de kilomètres, pour se mettre enfin à apprendre à faire une bonne cuisine familiale qui nourrisse correctement ceux qui nous sont proches !
Retroussons nos manches, bon courage et bon appétit !
« que le Dieu de notre Seigneur Jésus–Christ, le Père de gloire, vous donne un Esprit de sagesse et de révélation, dans sa connaissance, et qu’Il illumine les yeux de votre coeur, pour que vous sachiez quelle est l’espérance qui s’attache à Son appel, quelle est la richesse de la gloire de son héritage qu’il réserve aux saints, et quelle est envers nous qui croyons l’infinie grandeur de sa puissance, se manifestant avec efficacité par la vertu de sa force. Il l’a déployée en Christ, en le ressuscitant des morts, et en le faisant asseoir à sa droite dans les lieux célestes, » (Eph. 1. 17-20.)
Jean-Luc B
Dans le même ordre d'idée:
http://blog-porte-parole.blogspot.com/2009/12/dieu-dit-tu-as-du-prix-mes-yeux.html
http://blog-porte-parole.blogspot.com/2009/08/que-faut-il-faire-pour-etre-sauve.html
http://blog-porte-parole.blogspot.com/2009/08/conquerir-nos-vies.html
http://blog-porte-parole.blogspot.com/2009/07/le-temps-du-salut.html
Nous avons tout pleinement en Jésus Christ (Col. 2. 10.). Et cela dès le début de notre vie Chrétienne. Remarquez bien qu'il est écrit « nous a donné tout », c'est déjà fait. Il n'est pas dit : « il nous donnera plus tard », mais bien : « nous a donné tout ». Ceux qui courent dans des rassemblements où on leur promet : « plus de Dieu » n'ont probablement jamais lu ce Texte fondamental. Sinon ils sauraient qu'il n'y a pas besoin de chercher ailleurs. Inutile de courir à des séminaires, ni auprès de « leaders » et de pseudo-prophètes, ni d'aller le chercher dans les chambres, ni dans les déserts ou dans la mortification, puisque tout nous a été donné « au moyen de la connaissance de Celui qui nous appelé » ! Tous ceux qui ont reçu l'appel divin et qui y ont répondu ont donc accès ainsi à « tout ce qui contribue à la vie et à la piété ».
En voyant comment certains frères et soeurs peuvent rester pendant des années dans la misère spirituelle, on peut se demander s'ils n'ont pas oubliés de continuer à déballer le Cadeau que Dieu nous a offert en nous faisant connaître son Fils. Selon ce qu'en dit L'Écriture :
« je veux qu’ainsi leurs coeurs soient encouragés et qu’étroitement unis dans l’amour, ils accèdent, en toute sa richesse, à la plénitude de l’intelligence, à la connaissance du mystère de Dieu : Christ, en qui sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la connaissance. » (Col. 2. 3.)
Paul confirme donc ce que disait Pierre en introduction de cet article, mais y apporte une précision qui nous permet de savoir comment « déballer ce cadeau », car remarquons bien que ces trésors ne sont pas directement accessibles, puisqu'ils « sont cachés en Christ ». Il est donc nécessaires de le rechercher pour les découvrir, cependant Paul nous explique comment nous pouvons y arriver : en étant « étroitement unis dans l’amour, ils accèdent, en toute sa richesse, à la plénitude de l’intelligence, à la connaissance du mystère de Dieu. »
La leçon est claire : ce n'est ni dans les écoles bibliques, ni dans les ouvrages de théologie, ni même sur internet et ses multiples sites chrétiens que nous pourrons accéder véritablement à la plénitude de la compréhension du mystère de Dieu, mais seulement en étant « étroitement unis dans l’amour » avec ceux qui suivent avec nous le même Seigneur. La communion fraternelle est donc le moyen par lequel Dieu nous dévoile chaque jour les trésors qui sont cachés en Christ.
N'oublions pas en effet que le Christ se compare Lui-même à la manne qui a nourri le peuple dans le désert (Jean 6. 32 à 35.). Une nourriture qu'il fallait aller chercher tous les matins après la rosée, pour ensuite la partager avec ceux qui n'en avaient pas ramassé assez pour leurs besoins. Donc d'abord une recherche individuelle, pour en arriver ensuite à un partage collectif. Dieu nous donne fidèlement « notre pain quotidien » mais nous avons à le ramasser et à le préparer nous-même pour pouvoir le partager avec les frères et soeurs.
Il me semble que nous avons pris de bien mauvaises habitudes dans nos lieux de réunion, puisque la plupart du temps il n'y a qu'un seul homme (le pasteur) qui va chercher la manne (quand il ne fait pas simplement des copié-collé piochés sur un site d'enseignement...) et qui prépare un plat collectif pour le reste d'une assemblée qui a tendance à se mettre simplement les pieds sous la table, en critiquant même souvent la façon dont le service a été effectué... ce n'est pas le modèle qu'en donne les apôtres :
« Que faire donc, frères? Lorsque vous vous assemblez, les uns ou les autres parmi vous ont–ils un cantique, une instruction, une révélation, une langue, une interprétation, que tout se fasse pour l’édification... » (1 Cor. 14. 26.)
« Comme de bons dispensateurs des diverses grâces de Dieu, que chacun de vous mette au service des autres le don qu’il a reçu » (1 Pierre 4. 10.)
Si nous voulons découvrir en Christ les trésors qu'il a mis à notre disposition, il nous reste à le retrouver là où il nous a dit qu'il était présent :
« là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis au milieu d’eux. » (Mat. 18. 20.)
Pour le dire trivialement : il serait peut-être temps d'arrêter de se refiler des adresses de bons restaurants situés à des dizaines (ou parfois des centaines) de kilomètres, pour se mettre enfin à apprendre à faire une bonne cuisine familiale qui nourrisse correctement ceux qui nous sont proches !
Retroussons nos manches, bon courage et bon appétit !
« que le Dieu de notre Seigneur Jésus–Christ, le Père de gloire, vous donne un Esprit de sagesse et de révélation, dans sa connaissance, et qu’Il illumine les yeux de votre coeur, pour que vous sachiez quelle est l’espérance qui s’attache à Son appel, quelle est la richesse de la gloire de son héritage qu’il réserve aux saints, et quelle est envers nous qui croyons l’infinie grandeur de sa puissance, se manifestant avec efficacité par la vertu de sa force. Il l’a déployée en Christ, en le ressuscitant des morts, et en le faisant asseoir à sa droite dans les lieux célestes, » (Eph. 1. 17-20.)
Jean-Luc B
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Bonjour Jean-Luc, Je te remercie pour cette exhortation magnifique. Elle me fait beaucoup de bien, car je la comprends parfaitement et j'en suis édifiée.
RépondreSupprimerSois grandement béni par notre Seigneur pour ton blog. Surtout ne nous lâche pas car nous avons aussi besoin de nous édifier les uns les autres, en assemblée virtuelle, choisie.
Aline